Ils ont baissé les bras…

Ils ont baissé les bras, mes frères,
Et ils préfèrent croire, animaux religieux,
A la superstition, l’orient et les mystères,
La réincarnation, la gnose et les faux dieux !

Certains disant : je ne crois pas en Dieu,
Peut-être à la magie, les sorts, le panthéisme,
Tout, pour faire ce qui me plaît, sans être pieux,
Sortir de la rigueur du christianisme !

Car ils le savent bien, au fond d’eux,
Combien serait douloureux la remise en question,
D’une vie vertueuse et montant vers les cieux :
Il n’en est pas question, voyons !

Et l’on préfère croire que tout ça est réac …
Et bouffer du curé pour bien se justifier,
Qu’ils sont pleins de péchés et qu’il vaut mieux le bac,
Apprendre à travailler pour aller s’amuser …

Certains disant : je crois mais ne pratique pas !
Et oubliant sans doutes, le diable disant :
Je crois, mais ne pratique pas !
Religion à la carte, effondrée dans le temps …

Certains disant : je ne crois pas en Dieu,
Mais à ceci, cela, enfin ce qui leur plaît :
La franc-maçonnerie : ça a l’air plus sérieux,
Qui sait ? …

Oubliant ce que c’est, bernés,
De leurs faux idéaux, trompeurs…
Briguant la politique au fond désespéré
Vers un gouvernement mondial, malheur ! …

Et où l’on vous mettra, malheur,
Une puce vivante sur la main où le front :
La marque de la bête sur nos visages en pleurs
Pour ceux qui l’auront pris ainsi qu’il est mention :

Apocalypse 13, verset 16-17…
Ce sera le résultat de ceux se questionnant :
Le bon Dieu où la bête,
Ai-je cru seulement ?

Se frappant le visage,
Pleurant amèrement
Le salaire du péché, sans âge,
Car éternellement …

Mystère d’iniquité, sans doutes,
Devant l’éternité : Amour,
Car par ceux rachetés dans le sang de l’Agneau,
Ceux combattant le doute et dont vous vous moquiez,

Eux, pleurant maintenant par l’Amour de l’Agneau :
Le Christ ressuscité dont les bras sont en croix !